Les "grands riches" de ce monde provoquent la faillite de la Grèce (en attendant de mettre dans le même état justement d'autres états) afin de pouvoir s'en mettre encore davantage dans les poches. En pretant 750 milliard d'euros avec des intérêtes importants qui est ce qui touche le jackpot?
Les valets de la finances se mettent en quatre pour sauver les banques : touche pas à mon fric!
Pendant ce temps les très pauvres peuvent crever la gueule ouverte et les pas encore très pauvres sont pressés de donner le peu de pognon qu'ils ont pour que les banques non seulement ne perdent rien, mais qui plus est, gagnent encore plus.
Et lorsque les responsables politiques en place sont grillés, les détenteurs du capital savent tout faire pour mettre de nouveaux serviteurs à leur place. En démocratie, il suffit de savoir utiliser les médias pour promouvoir celle ou celui de l'opposition qui se fera battre (Ségolène Royal) ou qui est susceptible de servir le capital (Stauss-Kahn). Et le couillon de base est roulé dans la farine...